SINGAPOUR

Une île, un Etat, une ville : ordonné et propre. Particularité la ville des amendes (mâcher un chewing-gum 10000$, jeter un détritus par terre 1000$, fumer sur un lieu public 1000$...)

Le Merlion, mi lion, mi poisson est le symbole de la ville

Depuis 1819, date de l’établissement d'un comptoir à Singapour par Sir Stamford Raffles, le centre industriel et commercial du Sud-est asiatique s'affirme de plus en plus comme un pôle touristique résolument captivant. Singapour ne laisse jamais le voyageur indifférent. Ses artifices, son occidentalisation exacerbée, laissent place un pâté de maisons plus loin a des ruelles colorées, qui sentent bon le curry et l'encens a la rose.

Au pied des grattes ciel les plus hauts d'Asie, s’étendent de vastes palais victoriens d'un blanc immaculé. Sur Orchard Road, on se gave de Coca-cola et des hamburgers les plus chers du monde; tandis qu'a la terrasse du Cricket Club, on déguste le "Five O'Clock Tea" en parcourant le Times.

Nous avons particulièrement aimé flâner, comme le dit la chanson, dans les "petites ruelles de Singapour". Et plus particulièrement le long de celles de CHINATOWN, de LITTLE INDIA, ou d'ARAB STREET, qui sont les trois successeurs florissants des districts conçus par Sir Stamford Raffles pour chaque ethnie.

LE TEMPLE Sri Mariammam, c'est le plus anciens et plus important temple de Singapour

Le Singapour monumental se rencontre plus spécialement autour des quatre joyaux de l’ère coloniale. Le plus connu est le légendaire RAFFLES HOTEL: la "Grande Dame de l'Orient". Avec le GOODWOOD PARK, il s'agit de l'un des derniers palaces de légende d'Asie. Sa fondation remonte a 1886. Des écrivains célèbres, comme Somerset Maugham, Rudyard Kipling et Joseph Conrad, comptent parmi ses hôtes. Plus colonial encore: la COUR SUPREME, et l'HOTEL DE VILLE ou fut signée la reddition Japonaise devant Lord Mountbatten, en 1945.

Les habitants de Singapour sont assez fiers de SENTOSA : une île transformée en parc d'attraction.

TOP