L'âge d'or de la monoculture de la canne à sucre dota chaque habitation d'une petite sucrerie dont témoignent encore les vestiges de nombreux moulins. Plus tard au milieu du 19éme siècle, la création d'usines centrales amorça la période de concentration industrielle.

Aujourd'hui il ne demeure que l'usine de GRAND-ANSE, qui broie la plupart des cannes, tandis que les trois distilleries survivantes absorbent une petite partie de la production.

De février à juin chaque Marie-Galantais est impliqué à sa manière dans une activité dont l'île tire l'essentiel de ses ressources .